EGALITE - PRESENTATION DES TETES DE LISTES - BRUXELLES - L'interview d'Abdi (PTB) - Too hot for TV ;)

N'ayant aucune envie de me présenter, parce que j'estime qu'on me connaît assez comme ça, j'ai préféré interviewer un candidat d'un autre parti politique et il a accepté. La surprise en ligne ce week-end. :)

Qui Suis-je ?

Molenbeekois depuis 45 ans, Architecte d’Intérieur de formation, durant 1996 à 2007, j’ai travaillé à l’Administration Communale en tant que conseiller en rénovation au sein des contrats de quartier.
Aujourd’hui, je m’efforce par mon expérience dans l’espace associatif d’être à la disponibilité des jeunes et à encourager des initiatives de développement et d’insertion afin de lutter contre l’assistanat et l’occupationnel en initiant des projets de vie !

Mes projets !

L’austérité et l’exclusion du chômage ne sont-ils pas les signes indicateurs pour renforcer les formations ? Et permettre l’accès de jeunes dans les secteurs aussi novateur que la Bio-Eco-Construction, l’Artisanat, la Technologie thermique solaire et pourquoi pas l’Agriculture sont-ils encore impossible ?
Pourquoi n’imaginons pas un retour dans le pays d’origine, en soutenant des opportunités économiques tangibles grâce à l’embauche de jeunes molenbeekois par des entreprises intéressés à étendre le marché belge à l’extérieur de nos frontières : (Maroc, Congo, Mauritanie, etc.)
Cet échange réciproque entre la Belgique et l’Afrique, permettra à terme de lutter contre «L’échec de l’immigration» par l’immigration positive. Prospérer avec le potentiel «inactif» et contenir «in fine» l’exode par des initiatives d’insertion.

Réflexion sur l’immigration :

Molenbeek, l’emploi, la politique et les jeunes…?

L’austérité qui s’annonce et les mesures d’exclusions du chômage semblent inerte des sujets sociaux et des programmes politiques électoraliste des majorités, les questions liés à la stabilité financière et l’alignement aveugle de facto aux exigences du traité européen ainsi que certaines mesures concernant l’application de nos droits constitutionnels bafoués, ne figurent plus les priorités des débats.

Une commune est un ensemble d’individus dans une micro société, ou chaque citoyen répercute au sein de la collectivité, des «gestes» quotidiens ayant des effets verticaux à chaque palier de la macro société, faisant de nous des personnes extrêmement importantes à l’échelle nationale et globale !

Si les mécanismes politiques permettaient la transcendance des idéaux, c’est-à-dire : être davantage à l’écoute des citoyens et non le cloisonnement institutionnalisé des minorités, alors, les communes incluraient l’idée nouvelle dans les rapports nord/sud pouvant engendrer une croissance économique « exponentielle » et entérinant à jamais la question de l’immigration parce que devenue tellement inutile !

Il ne suffit pas de recréer pour innover.

Instaurer des mécanismes d’insertion socio-économique plus souple et moins drastique, centralisation de service à la population et données accessibles dans tous les domaines d’explorations économiques au niveau National, simplification des formulaires d’introduction, création de nouvelles formations adaptées, synergie permanente avec le secteur industriel et le patronat, mise en place de conseil des sages afin d’assurer la transparence démocratique des procédures, fusionner des services opposés géographiquement ayants des finalités similaires (mission locale, maison de l’emploi, actiris) par exemple, etc.

Si la question de l’immigration est un fardeau pour le gouvernement, faisons en sorte qu’elle ne soit plus le fruit de l’assistanat mais le bénéfice d’une croissance économique salutaire.

Il faut initier avec les couches concernées, un retour aux sources pour les entreprises bruxelloises grâce à l’embauche de jeunes d’origines diverses «dûment formés» à cet effet, au sein des entreprises belges et dont les secteurs d’activités sont susceptibles d’ouvrir de nouveaux horizons professionnels !?

Molenbeek dispose d’une diversité très importante ; ce nouvel angle de vue ouvrira inévitablement des passerelles socio-économique en instruisant les origines diverses aux travers ces opportunités à la condition d’une volonté politique motivé par l’ensemble des pouvoirs publiques, des ministères, des communes et tous les instruments politiques liés à l’économie, à l’immigration, à la coopération et au développement, etc. ! 

La double identité est une richesse inestimable, la Belgique gagnerait en image de manière considérable permettant : 

(créations ou renforcement de nouveaux pôles économiques, explorations innovantes grâce aux identités et aux ressources potentielles) en réorientant par exemple des formations novatrices dans le domaine de l’agriculture, de l’environnement, des travaux publiques, de l’eco/bio-construction, des énergies renouvelables, etc. 

Nous savons que le Congo, le Maroc et d’autres pays par exemple sont en demande croissante dans ces secteurs d’activités, et qu’il suffirait grâce aux ressources institutionnelles Bruxelloises d’encourager ces nouvelles perspectives, grâce aux mécanismes politiques bruxellois et européens de surcroît ; et quoi de plus motivant pour un jeune belge dont la formation qualifiante susciterait en lui un sentiment de fierté.

Les entreprises belges engageraient sous divers statuts professionnels, accédant la prospection dans le pays d’origine sachant qu’il y a des demandes dépassant les offres, mais d’où l’idée originale est la mise au travail de jeunes grâce à l’expertise d’entreprises bruxelloises hautement qualifiés et réputés mondialement.

Source de gain et croissance économique pour la Belgique, la double identité et la maîtrise de la langue locale est un avantage certain, cela permettra l’ouverture de nouveaux marchés économiques favorisés grâce à la double identité et inciterait «in facto» à étendre le marché belge au-delà de nos frontières. 
Les signatures de contrats en seront le bénéfice réciproque, transmission de l’expérience et d’expertises vers d’autres activités de développements, multiplications de ce concept à toutes les couches belges issues de l’immigration.

Surtout, la mise en œuvre d'initiation d'insertion dans le pays d’origine, constituera prioritairement l’une des solutions pour agir efficacement contre la fuite des ressources «humaines», dont l’exode en est devenu l’illustration médiatique la plus flagrante !
Conscientiser le développement d’initiatives de coopération bilatérale avec le pays d’origine, consistera à créer des passerelles pour les jeunes bruxellois, parce que ce regard neuf éveillera chez ceux-ci de nouvelles perspectives encourageante sur le rapprochement socio-économique, culturel et personnel. 

Combattre l’immigration par l’immigration positive en profitant du potentiel «dormant» est une issue innovante et légitime de boucler le débat sur «L’échec de l’immigration» ; parce qu’enfin, fermant le dernier maillon d’un fait, dont l’origine nous ramènera toujours à l’essence même de notre monde et qui ne saurait être aujourd’hui ce qu’elle est, sans l’immigration ! 

Par Abd-errahman ERRAMI

Les sectes ont annoncé l’apocalypse pour le 21 décembre 2012. Pour preuve, elles utilisent le calendrier Hotzkin des Mayas. Voilà leur dernier filon pour faire de nouvelles recrues et engranger des bénéfices. Et ça marche, surtout à l’heure d’internet !

Studio FBK

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